Phase essentielle dans le parcours d’un collaborateur, l’onboarding marque le début de son expérience au sein de l’entreprise. Celle-ci doit être irréprochable car les enjeux sont grands. Mais si les attentions sont de mises, comment scaler ce modèle à grande échelle et tenir le rythme des nouvelles arrivées dans l’équipe ? Retour sur les conseils de Leyton, grand gagnant de l’Open Education Night 2022.
Que ce soit du côté de l’entreprise ou du salarié, l’onboarding fait partie des étapes qui définissent la qualité de la collaboration. Pourquoi est-ce aussi important ?
Pour l’employeur, l’onboarding réussi d’un salarié équivaut à :
Pour le collaborateur, c’est l’assurance :
A contrario, les risques en cas de mauvais onboarding peuvent coûter beaucoup : perte de temps, mauvaise intégration, perte financière, désillusion, départ précipité… Avec la guerre des talents actuelle, les entreprises doivent mettre toutes les chances de leur côté.
Comme expliqué précédemment, cette année Leyton a remporté un prix lors de la soirée de l’Open Education Night. À la veille de la rentrée, nous souhaitions faire le point sur ce qui fonctionne le mieux pour préparer l’arrivée de nouveaux collaborateurs.
Selon une étude menée par Robert Half, 28 % des travailleurs disent avoir accepté une offre d'emploi, pour ensuite faire marche arrière avant la date d'entrée en fonction. Ce chiffre terrifiant témoigne de l’importance de capter le candidat avant même la prise de poste !
Pour ce faire, de plus en plus d’entreprises misent sur la période entre les entretiens et la premier jour en l’entreprise : le pré-boarding. Envoi du planning du séminaire d’intégration, organiser un contact en amont avec le manager et/ou l’équipe, toutes les techniques sont bonnes pour garder un lien et engager le candidat.
Les premiers jours en entreprise ne sont pas les plus faciles. Découverte de l’activité, compréhension du produit, adaptation aux méthodes et aux processus, découverte des équipes, séminaire d'accueil… Le collaborateur peut avoir du mal à entrer dans ses missions rapidement.
Grâce à la préparation de l’onboarding comme la mise à disposition du matériel ou la création d’une liste d’actions et des objectifs clairement définis par le manager, le collaborateur divise par 3 son temps de prise d’autonomie. Celle-ci peut passer d’un an à seulement 4 mois ! L'engagement des apprenants est un vrai levier de performance pour l’entreprise.
Le dernier conseil de cette liste fait référence à la culture d’entreprise. Pour que l’intégration se passe au mieux avec les autres collaborateurs, il est important d’inclure des moments de partage informels dès les premiers jours.
L’entreprise peut par exemple attribuer un buddy d’une autre business unit ou encore proposer des services pour améliorer la QVT. Ces actions vont permettre aux nouveaux de développer une cohésion d’équipe à une échelle globale.
Si vous souhaitez découvrir plus de conseils pour appliquer ces pratiques, vous pouvez accéder au replay du webinaire présenté par Edflex et Leyton. Enfin, n’hésitez pas à télécharger notre checklist spéciale onboarding pour accéder à une fiche mémo complète !